mes amis mes freres

Pitt avait prit le temps de passer par la capitale, il aurait aimer passer voir jenji , mais tout comme elle il y avait du travail.
Depuis quelques temps déjà il pensait à un réconfort pour ses amis partis loin, très loins, et puis sa grande amie lui avait donné l'idée.

il attrapa une chair, un vieux tonneau et sorti un rouleau total de parchemin, un coup de calva pour s'éclaircir la voix, l'encrier et la plume étaient prêt , avec un peu de chance, dans quelques instants, cet écritoire imporvisé allait servir , ou pas.......

Il se leva debout nez dans le vent, remonta son mantel et sa bizontine et s'esclaffa.

"Normandes, Normands, bonjour à vous tous je suis pitt Dieppois mais surtout Normand, j'ai depuis quelques temps, nombres d'amis partis, de leur volonté, en croisade , virée qui nous le savons à été modifié , j'aimerais icelieu que ceux qui ont un ami une amie un proche la bas loin , écrivent un petit mot de réconfort , je précise de réconfort , cette lettre n'aura aucun but politique, juste un soutien à des amis, ceux qui sont , étaient, et seront encore, contre cette échappée lointaine , n'ont juste qu'a ne point écrire, respectez cette volonté soutenez vos amis, le faites pas mais s'il vous plait point de politique .
j'aimerais simplement envoyer le plus fort des pigeons, une lettre commune à nos amis , tous bléssés certains gravement , d'autres légèrement ..

Je pense à Alcann, luhpo, patsy, alix de kerennoc, coulis, galahad, casmir, maitredark, jeanturkbey et d'autres encore que je citerais pas simplement par manque de connaissances

puis il redescendit et emplit la première partie de cette missive qu'il voulait longue et cordiale, geste amicale en direction d'amis qui par choix personnel étaient loin

Attalus arriva et entendit le projet. Il était temps de montrer un peu de soutien à ceux là bas. Certains avaient crié aux scandale en Normandie et c'etait eux qu'on avait le plus entendu.
Bonne Idée Pittbull, prête moi ta plume que j'y mette des bafouilles.
Il s'avança et commença a ecrire.
Un mot du Nord pour ceux qui sont au Sud,

Vous avez choisi d'aller faire un tour dans le lointain, il est vrai que c'est meilleur quand il y a du soleil. Ne nous revenez pas trop bronzé. On sera jaloux.
Suzerain, ne t'en fait pas ton sable est toujours. A la Botte crotté, j'espère que vous allez bien. Aux autres courage et honneur doivent vous guider.
On boit à votre santé.

Attalus

Jeannick aussi, pensait qu'il était bien normal de soutenir ses compatriotes. Sans écouter plus que leur devoir, ils étaient partis sur les routes; braver moultes dangers.
La plume il prend, et griffonne un petit mot.
Fiers Normands.
Pour la Justice.
Pour le maintient de l'Ordre.
Pour que la chienlie barbare ne prévale pas.
Vous avez donné votre temps, votre sang.

Normandie ne vous oublie pas.
Nous vous attendons, impatients de votre retour, amis.
Fiers de votre dévouement.
Dans l'attente de vous revoir a nos cotés.
Jeannick

Yelmir entendait souvent parler de la Provence et de ce qui s'y déroulait et décida d'y envoyer lui aussi une lettre:
Je tiens par cette missive, saluer ceux qui sont partis au combats pour respecter leurs serments que ce fut devant un Seigneur ou le Roy.

Puissiez vous affronter cette épreuve avec courage, ne faire montre de votre prouesse à l'épée ou à l'arc qu'envers ceux qui portent les armes.
Que vous vous fassiez preuve de vos vertus pour le bien des faibles dans la violence des combats.
Que vous n'oubliez point votre foy malgré ce par quoi vous passez.

Yelmir de Lisieux